dimanche 9 mars 2014


Chasseneuil du Poitou
Aux dernières élections municipales, notre sénateur le sieur Raffarin 
à senti le vent du boulet !
Madame Raffarin ne sera plus « colistière » sur la nouvelle liste ! ! !
On quitte le navire ?
Le nom accroché à une défaite...comme pub il y a mieux .

(coup d'oeil sur la réalité)

  Et rappel pour la jeune génération


Notre maire Monsieur Eidelstein et la famille Raffarin ont toujours fusionné depuis des décennies ...C'est leurs choix !
Mais que l'on ne vienne pas me dire même "anonymement"le contraire
De quel droit avez vous mis la photo du maire de Chasseneuil sur votre blog avez vous demandez l'autorisation à la personne et de plus Mr RAFFARIN s'occupe de la politique national et non de la politique communal, la laiterie de Bonilait est une entreprise privé qui jusqu'a ce jour est libre de recevoir les personnes qu'elle souhaite, le directeur est la seule personne à décider sans contrainte, Mme comme d'habitude ne mélangé pas tout sur la commune
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  1. Je suis désolée mais :
    Notre maire est un homme public ! aucune autorisation n'est nécessaire pour diffuser "sa frimousse"
    Quant à notre très cher sénateur-retraité ! je vous signal qu'il a été au conseil municipal de Chasseneuil ...
    pour ensuite passer la main à sa femme qui est à nos jours toujours conseillère municipale ! ! !
    ou est le problème ?

-Historique de notre blog -

mardi 6 novembre 2012

A Chasseneuil du Poitou: 
"Il était une fois" ?
Non , « il était une fois » débute toujours les contes pour enfants,
 là ce n'est pas un conte, et ne s'adresse pas aux enfants,
 ce n'est pas une "histoire belge,
Juste une "raffarinade" ?
___________
ZTE   au Futuroscope


 Les discussions se poursuivent avec Jean-Pierre Raffarin !
  • Le dossier est entre de bonnes mains,
    Monsieur Raffarin est un "spécialiste", il a même ...
    "un blog en Chine" ! ! !
Ne parlant pas le mandarin, peut-être n'a-t-il pu déceler
"certaines finesses asiatiques", et mal interprété "les courbettes" ? -

 Qui a été "enfariné" ?

L'ancien Premier ministre et actuel sénateur UMP de la Vienne a rencontré comme prévu une délégation de l'ambassade de Chine au Sénat pour évoquer les projets de ZTE dans la Vienne. Le groupe chinois de téléphonie qui a engagé la construction de sa plateforme européenne de formation sur la Technopole du Futuroscope a en effet menacé de se désengager la semaine dernière. Jean-Pierre Raffarin est délégué par les collectivités locales partenaires du projet pour conduire les négociations. « Il a averti les autorités françaises et chinoises de sa démarches et les discussions se poursuivent », précise son entourage en ajoutant que la plus grande discrétion est de mise.
 Les deux parties se sont données jusqu'à la fin de l'année pour parvenir à un accord.

Ils nous disent qu'ils ont du mal à recruter des ingénieurs télécoms de haut niveau en France », confirme Claude Bertaud, le président du conseil général de la Vienne, qui a convoqué une réunion en début de semaine avec tous les partenaires publics de l'entreprise chinoise. « Le préfet était là, ainsi que Jean-Pierre Raffarin, Alain Claeys et des représentants de la Région et de l'université », continue Claude Bertaud.
L'entrevue avec Lin Cheng, le responsable de la division Europe et Amérique du Nord de ZTE,
« a été très tendue au début » explique Claude Bertaud. « Il a carrément dit que la France n'était pas en capacité de former les ingénieurs dont il a besoin. Ce dont le vice-président de l'université, Serge Huberson, s'est formellement défendu. »
La fin de la réunion a été plus constructive, avance prudemment Claude Bertaud,

qui s'en tient à la version de l'entreprise chinoise et n'entre pas dans des considérations 
sur le cyber-espionnage ou la concurrence faussée ...
-C'est tellement plus simple !-
 « Lin Cheng a donné son accord pour nous transmettre noir sur blanc ses besoins en formation et en recrutement. Je suis persuadé que nous avons les moyens d'y répondre. » Et pas seulement en espèces sonnantes et trébuchantes, « mais en capacité de formation et d'aide au séjour ».
Comment dit-on que l'espoir fait vivre en chinois ? 

Il faut demander à RAF.

samedi 11 décembre 2010

Il va y avoir avant les Présidentielles

deux élections importantes :

Les Cantonales et les élections Sénatoriales 

A  Chasseneuil du Poitou

pas de cantonale,mais nous avons dans 
notre village un Sénateur! en l'occurrence: 

Monsieur Raffarin
(en pleine "raffarinade"!)

Je sais ce n'est pas une élection au suffrage universel...  
dommage ! et pourquoi ?  

(voilà une réforme à faire !)
   
Alors quoi de plus normal (localement!)que de braquer 
les projecteurs sur lui,ce qui n'a évidemment aucune répercussion nationale.
(ils ont autre chose à faire !) 

-Monsieur Raffarin,étiquette:centriste
oui mais lequel ?

car il ne fait que trottiner derrière Sarkozy,
vote toutes les lois et ne réagit jamais
au mépris du gouvernement à l'égard du Sénat!

ce qui devrait l'interpeller !


Alors

quel "avantage" a Chasseneuil d'avoir un 
Sénateur sur ses prairies ?

(argument largement exploité par
la droite Chasseneuillaise!)

Rien

sinon le fait d'avoir droit(pour l'image!)
à Madame Raffarin dans le conseil municipal!
"Un nom", qui coûte aux Chasseneuillais

 Plus de 700 euros mensuel !

Lors des élections suivez vos convictions profondes, 
ne vous laissez pas entraîner par des considérations 
futiles,superficielles,sans intérêt.


Un peu de changement,
"s'aérer" c'est très sain!

Vendredi 2 Mars 2012

J.P. Raffarin 


Libération
Par SCHNEIDER Vanessa 


C'est le type même du type qui n'a l'air de rien. 
Épaules tombantes, paupières aussi, embonpoint de sénateur 
et démarche lente,
 Jean-Pierre Raffarin n'est pas un flamboyant. 





Il est de ceux que l'on ne remarque pas, dont le visage au nez cassé, dit vaguement quelque chose sans que l'on puisse mettre un nom dessus. Cet homme-là est pourtant devenu une des clés du dispositif Chirac. En quelques années, il a gagné la confiance du chef de l'Etat. Au point d'être cité parmi les «premiers ministrables» en cas de victoire en 2002.

Longtemps, il a été un passe-partout de la politique. Dans l'ombre de son père d'abord, patron de  laiteries , maire, conseiller général de la Vienne et secrétaire d'Etat à l'Agriculture de Pierre Mendès France en 1951. Dans celle, ensuite, de René Monory, le cacique local, puis de Valéry Giscard d'Estaing, avant de mettre sa discrétion au service de Jacques Chirac.
De ses mentors, il a reçu des leçons capitales. La patience, avec Monory qui l'a fait poireauter dix ans avant de le lancer à la tête de la région Poitou-Charentes en 1988. 
La malice, avec Giscard qu'il qualifie de «génial», encore fasciné. 
Et tout un tas de petites ficelles.
Maroquin. En bon giscardien, Raffarin n'a, a priori, pas le profil pour devenir un lieutenant de Chirac. Il le déteste même. Avant de le trouver touchant: en 1994, il observe le rapprochement entre VGE et le maire de Paris. «Chirac voulait alors montrer à Giscard qu'il n'avait pas un encéphalogramme plat. Il venait lui rendre visite chez lui toutes les semaines et lui parlait d'art asiatique pour le convaincre de sa culture», se souvient-il. Finalement l'ex-Président et son ancien Premier ministre se rabibochent sur le dos de Balladur. Giscard demande un maroquin pour son poulain.

Au ministère des PME, Raffarin est à l'aise. Diplômé d'une grande école de commerce parisienne, où il a effectué sa scolarité avec le commissaire européen Michel Barnier, il a commencé sa carrière professionnelle comme chef de produit chez Jacques Vabres. Libéral issu de la famille des indépendants, il se sent comme un poisson dans l'eau avec les artisans et les commerçants.
Elections. Moins avec les électeurs, à voir son parcours. Jean-Pierre Raffarin s'est frotté une seule fois au scrutin majoritaire. En 1978, il affronte, lors des législatives, le maire (PS) de Poitiers, Jacques Santrot. Il perd avec 48 % des voix. On ne l'y reprendra plus. 

Depuis, il s'est fait élire sur des scrutins de liste à la proportionnelle. Conseiller régional en 1986, il devient président de l'assemblée régionale à l'occasion de la démission de son prédécesseur; puis député européen en 1989 et sénateur en 1995. «On en parle comme d'un homme de terrain, c'est paradoxal pour quelqu'un qui n'a jamais eu à se battre pour ses mandats» !

Intuition. Car le patron de la région Poitou-Charentes est trop lisse d'apparence pour avoir des ennemis. Tout en rondeur, il a su se faire oublier des crocodiles de la droite. Jacques Chirac, lui, a repéré dès 1995 ce ministre  défenseur des métiers de bouche et du petit commerce. Après la dissolution, Raffarin a une intuition: «Personne d'autre que Chirac n'est capable de conduire la droite pour les prochaines échéances», martèle-t-il à ses interlocuteurs. Dans la foulée, il crée un club de réflexion Dialogue et initiatives avec l'UDF Jacques Barrot et les RPR Michel Barnier et Dominique Perben.
 Le chef de l'Etat, critiqué par tous, savoure le geste. Le sénateur de la Vienne devient un familier du Château. Chirac goûte son côté «terroir» A l'heure où il est de bon ton de vilipender la politique spectacle et le parisianisme, Jean-Pierre Raffarin se fait le défenseur du local, le défenseur de «la France d'en bas». Lorsque l'UDF se divise, il suit Alain Madelin à reculons qualifiant Démocratie libérale de «parking» en attendant mieux. Un mieux qui, pense-t-il s'appelle Union en Mouvement.

Notoriété. Pilier de cette association destinée à créer un grand parti de droite au profit de Chirac, il multiplie les réunions en province «Ça me plaît, confie-t-il, je vois des milliers de gens. Il y a un seuil où tout cela se transforme en popularité mais je n'en suis pas encore là.» Il connaît ses limites: une notoriété très faible et une expérience gouvernementale limitée. «La présidence de la région Poitou-Charentes lui sert presque plus que son ministère», note Dominique Perben qui estime que si le chef de l'Etat veut un ministre qui ne soit pas  un concurrent ni un rival, Raffarin pourrait très bien faire l'affaire.

S'il jure que la région est «un formidable laboratoire», l'ancien ministre sait bien que cet atout ne lui suffira pas à se hisser dans les hautes sphères de la politique nationale. Alors il travaille à un discours déjà bien rodé sur l'humanisme. «Je veux aider la droite à retrouver les racines de sa pensée», explique-t-il. Pour cela il a potassé les livres de Raymond Aron, discuté avec le philosophe Luc Ferry. Jean-Pierre Raffarin dément toute ambition démesurée: «il faut savoir ce qu'on vaut et ne pas viser trop haut». Il se contente de rêver d'un beau ministère si Chirac l'emportait. 


Et de continuer, surtout, à n'avoir l'air de rien.

A l'époque du langage imagé de notre président !(Sarkozy)
M.Fillon serait "une chiffe molle" et M.Raffarin "une serpillière"
Tout ce petit monde a oublié ...ou fait semblant !

1 commentaire:

  1. t'as raison Annie! J'apprends beaucoup de chose sur Raffarin et Sarkosy sur ton blog (c'est bien ton blog, y a que toi qui publie...) mais rien sur Hollande,Taubira et Cahuzac, c'est normal ou juste une mémoire sélective? Mais non sur eux rien à dire, juste des martyrs du système, c'est bien çà. Des bleuets qui se prennent les pieds dans le tapis, des gamins qui se font prendre le doigt dans le pot de confiture et qui disent "c'est pas moi!" Et là pas un mot, rien, que dalle! il est vrai que çà demande un peu d'ouverture d'esprit!...

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