jeudi 9 décembre 2010

Nous devrions éviter de donner des leçons 
de démocratie ... au CONGO !
 ________________

Menacé d'invalidation !
http://moncharenton.blogencommun.fr/wp-content/uploads/huchon.jpg
J.P. Huchon

Seul élu de la majorité socialiste à être visé 

sur les 142 élus lors du scrutin de mars 2010,

J.-P. Huchon estime faire  l’objet d’une vendetta.


Jean-Paul Huchon contre-attaque
envoyé par FranceInfo


La droite ne m’a pas battu dans les urnes, 
elle ne m’a pas battu sur le Grand Paris
(…) et aujourd’hui on veut m’abattre“.
________
 Résultat Régionales 2010 

Huchon PS :       56,49%
Pécresse UMP : 43,51%
________
 
( Si on compare ! comment ne pas le croire !)


Les comptes des deux ont été validés par le conseil constitutionnel !

Ce que l'on "reproche" à J.P.Huchon ?

" une campagne d'affichage pour la région ! ! "

A vous de juger

Balladur ... Dur ...Dur !


http://www.journaldunet.com/economie/magazine/dossier/les-ministres-de-l-economie-caricatures-par-bertrand-daulle/image/balladur-375683.jpg
( La grande muette !)

Les comptes truqués de 1995 

Il n'y a pas seulement un dépôt de plus de 10 millions de francs 

en argent liquide et sans justificatif. 

Edouard Balladur a, pour sa campagne présidentielle de 1995, 

pulvérisé le plafond légal des dépenses.

S'il n'avait pas été sauvé par le Conseil constitutionnel, 

contre l'avis des rapporteurs,
 l'ancien premier ministre aurait dû renoncer à 
30 millions d'aides publiques 
et rembourser à l'Etat 7 millions de francs.

D'après les calculs des rapporteurs, que Mediapart a pu consulter, l'ancien hôte de Matignon aurait été contraint de signer un chèque de 7.200.776 francs à l'ordre du Trésor public.

En outre, il aurait dû tirer un trait sur le remboursement par l'Etat d'une partie de ses frais de campagne,
alors qu'il avait tablé sur 30,17 millions de francs d'aide publique.
L'ancien hôte de Matignon, en clair, se serait retrouvé sur la paille.

Ces chiffres – inconnus jusqu'ici – ont été extirpés des archives du Conseil constitutionnel
(couvertes par le secret jusqu'en 2020) par la Division nationale d'investigations financières (DNIF)
en mai, lors d'un «transport» effectué dans le cadre d'une enquête préliminaire sur des présomptions
de financement illicite de la campagne d'Edouard Balladur.

Les policiers ont constitué sur place de nombreux scellés, dont Mediapart a pris connaissance.

Ils dévoilent les détails de l'instruction menée à l'automne 1995 par les trois rapporteurs adjoints du
Conseil constitutionnel en charge du dossier Balladur, trois hauts fonctionnaires chargés de contrôler l'exhaustivité et l'honnêteté des comptes, d'éplucher les factures et les justificatifs de recettes.

En parcourant leur copie, on découvre ce chiffre explosif: plus de 13,3 millions de francs de
dépenses effectuées par l'équipe d'Edouard Balladur n'ont jamais été inscrites dans les comptes,
alors qu'elles auraient dû y figurer.

Une sacrée «omission»!

Les rapporteurs jugent indispensable, dans leurs conclusions, de les réintégrer.
«Après rectifications», ils calculent que  
«le compte de campagne fait apparaître un montant de dépenses de 97.200.776 francs»,
au lieu des 83.846.491 francs affichés par le trésorier de campagne.
C'est 8% de plus que le plafond des dépenses autorisées par la loi, alors fixé
à 90 millions de francs par candidat.

Les rapporteurs tiennent là une raison suffisante pour préconiser le rejet du compte, déjà plombé
dans son volet recettes par un versement de 10,25 millions de francs en grosses coupures dépourvu
de tout justificatif crédible, de tout «commencement de preuve» quant à son origine

Les hauts fonctionnaires se lancent ainsi dans l'inventaire des dépenses «oubliées»
par le trésorier d'Edouard Balladur, qu'ils ont pris soin de «repêcher», une par une.

En voici la liste, d'une ampleur 
difficile à soupçonner:

• 4.286.000 francs pour des permanences électorales
• 1.482.286 de sondages (payés par le Parti républicain ou le parti radical,
alors qu'ils ont servi à Edouard Balladur)
 • 2.277.600 pour des affiches, tracts, etc.
• 2.471.416 pour des réunions publiques
• 306.570 pour des locations de salles
• 12.000 pour des déplacements du candidat
• 912.000 pour des transports de militants
• 208.000 pour l'hébergement et le transport d'orateurs invités à des manifestations
• 30.000 pour des voyages dans les DOM-TOM

demain la suite

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire